Une grande Faculté des langues verra le jour à l'horizon de la rentrée 2016. Bernard Genton, doyen de la Faculté des langues et des cultures étrangères, et Thierry Grass, doyen de la Faculté des langues et des sciences humaines appliquées, nous présentent ce projet ambitieux et structurant pour l'enseignement des langues à l’Université de Strasbourg.
Quelle est l’origine de ce projet ?
Bernard Genton (BG) : Lorsque je suis arrivé en 2009 venant d’une autre université, l’organisation de l’enseignement des langues m’a interpellé. Des moyens importants sont consacrés aux langues à l’université mais l’offre est extrêmement compliquée et difficilement lisible pour les étudiants. Nous avons donc lancé un processus de rapprochement entre les deux facultés avec Nathalie Hillenweck, alors doyenne de la Faculté des langues et des sciences humaines appliquées. Mais à l’époque certaines résistances ont retardé l’échéance. Le processus a été relancé par le rapport Hamm sur l'enseignement et l'évaluation des langues vivantes à l'Université de Strasbourg publié en 2011.
En quoi consiste le projet actuel ?
BG : Il s’agit de réunir les deux facultés et les enseignements de langues pour spécialistes d'autres disciplines (Lansad) dans une seule et même structure qui pilotera l’offre en langues, seule discipline commune à tous les étudiants de l’université. Pour moi c’est une évidence, il faut rassembler les énergies pour créer un ensemble plus visible, plus lisible.
Thierry Grass (TG) : La nouvelle structure devra être plus pratique et plus simple sinon il n’y a pas d’intérêt de modifier l’existant. Un comité de pilotage politique a donc été mis en place ainsi que cinq groupes thématiques qui ont commencé à travailler sur l’offre de formation, la recherche, la gouvernance, les locaux et les ressources humaines. Un projet commun sera présenté début 2016 pour accueillir les étudiants à la rentrée suivante. La structure administrative sera définie début 2017.
Lors de la réunion d’information qui s’est tenue le 25 juin dernier, la question des locaux a été abordée. Qu’en est-il ?
BG : Nous souhaitons avoir une visibilité géographique et architecturale sur le campus. Mais pour l’instant aucun lieu connu ou existant n’est assez grand pour tous nous accueillir. Étant donné qu’il n’y a pas de projet de construction, ce sera certainement le Patio qui devrait être rénové dans le cadre de l’Opération campus. Il va falloir se réorganiser et jouer aux chaises musicales pour corriger la relative dispersion actuelle.
Un autre sujet, les ressources humaines, suscite aussi des craintes. Pourquoi selon vous ?
TG : Au sein de la Faculté des langues et des sciences humaines appliquées interviennent de nombreux professionnels dont des enseignants associés et invités (PAST) ou des professionnels vacataires, même des administratifs enseignants. Nous pensons qu’ils peuvent peser davantage dans une petite faculté que dans un grand ensemble composé en majorité d’enseignants-chercheurs.
BG : Comme dans tout projet de fusion, il y a des craintes de suppressions de postes. Mais, que tous se rassurent, il est inenvisageable de faire cette grande faculté à moyens réduits.
Et pour conclure ?
TG : L’ensemble des partenaires est d’accord sur le principe de la fusion mais pas encore sur toutes les modalités. De notre côté, nous souhaitons une faculté fédérative plutôt qu’intégrative ; il s’agit de garder nos spécificités et notre identité. Pour cela, il faudra notamment trancher sur le nombre de départements et d’instituts*.
BG : Les deux facultés travaillent déjà ensemble dans de nombreux domaines. Nous avons notamment des diplômes en commun et, depuis la rentrée 2014, une scolarité commune. Quant à notre faculté actuelle, elle assure une formation Lansad pour au moins 3 000 étudiants venus d’autres composantes. Nous nous mettrons donc facilement d’accord et la grande Faculté des langues finira par voir le jour. Avec 3 300 étudiants, ce sera l’une des plus grandes composantes de l’université avec les facultés de médecine et de droit. Cela renforcera le poids des langues dans l’université.
Propos recueillis par Floriane Andrey
*Actuellement, la Faculté des langues et des cultures étrangères compte 18 départements pour 2 000 étudiants et la Faculté des langues et des sciences humaines appliquées compte deux départements et un institut pour 1 300 étudiants.C’est désormais officiel : le Service de la vie universitaire (SVU) est certifié Marianne pour la qualité de son accueil. C’est l’aboutissement d’un processus de plusieurs années pour le SVU et le lancement d’une démarche qualité de l’accueil à toute l’université.
Le SVU est le premier service universitaire de France, hors bibliothèques, à être labellisé Marianne. Ce label est une certification nationale délivrée aux services de l’État et à ses opérateurs (dont l’université fait partie), qui s’engagent en 19 points à assurer un accueil de qualité à leurs usagers.
« Le SVU n’a pas découvert l’accueil en entrant dans la démarche de certification, explique Dany Bouchehit, adjoint au chef de service du SVU, Diane Dupront, qui a piloté la démarche dans son service. Elle nous a permis de réfléchir à nos pratiques et de nous améliorer sur différents points. Une démarche qui a été très mobilisatrice pour l’équipe. »
Délai maximal de traitement des mails, temps de réponse au téléphone, signalétique, affichage des temps d’attente : autant de pratiques qui sont formalisées par la procédure et qui sont régulièrement évaluées dans le temps. Le SVU reçoit des usagers toute l’année dans ses murs, avec un gros pic d’activités à la rentrée universitaire. Un moment parfois difficile à gérer pour l’accueil, justement, où il faut faire face à un très gros afflux.
Une expérience qui fera des petits
Pour l’Université de Strasbourg, la labellisation du SVU est un premier pas dans une démarche plus large de réflexion et de certification autour de l’accueil des publics. « Cette première certification va rapidement faire des petits », explique Mathieu Schneider, vice-président Sciences en société, qui porte le projet conjointement avec Nathalie Vincent, directrice générale adjointe. « Pour aider les composantes et les services volontaires dans cette démarche, l’université a d’ailleurs embauché un qualiticien dès l’automne. » Dans les deux ans à venir, une vingtaine de services et de composantes de l’Unistra devraient eux aussi recevoir la certification. Des services tels que l’Espace avenir, la médecine préventive, des composantes comme Télécom Physique Strasbourg, l’École supérieure de biotechnologie de Strasbourg, la Faculté de droit ou la Faculté des sciences de la vie sont ainsi sur les rangs.
À moyen terme, l’université souhaite généraliser son engagement sur la qualité de l’accueil en élaborant une charte de qualité interne qui prendra en compte l’accueil au sens large des usagers internes entre eux, c’est-à-dire la manière dont un service ou une composante obtient des réponses aux questions à un autre service ou à une autre composante. Une affaire à suivre dès la prochaine année universitaire.
Caroline Laplane
L’École supérieure du professorat et de l'éducation (Éspé) de l’académie de Strasbourg boucle sa deuxième année de fonctionnement et voit sortir sa première promotion d’enseignants. L’occasion de faire un premier bilan avec son directeur, Philippe Clermont, et de dresser quelques perspectives d’avenir, particulièrement sur trois questions d’actualité : la laïcité, la réforme du collège et les difficultés de recrutement des enseignants.
Qu’est-ce que l’Éspé ? Quelle différence avec l’IUFM ?
L’Éspé est la composante de l’Université de Strasbourg chargée de la formation des enseignants et des personnels d’éducation. Nous formons des étudiants aux métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation. L’Éspé est aussi un projet de l’académie de Strasbourg et de la politique de site. Nous formons aussi les étudiants de l’Université de Haute Alsace (UHA) se destinant à ces métiers. En même temps, et c’est une nouveauté par rapport aux IUFM, nous menons un projet de développement de la recherche en éducation. La formation est financée par l’Unistra, l’UHA (au prorata des étudiants concernés), le rectorat de l’académie de Strasbourg et les conseils départementaux.
Quel premier bilan tirez-vous de la création des Éspé ?
Nous avons d’abord mis en œuvre de nouvelles maquettes de master. Nous voyons sortir actuellement la première promotion de master 2. Par ailleurs, nous avons mis en place le conseil d’école, le conseil d’orientation scientifique et pédagogique. Nous avons noué les partenariats pour fonctionner avec l’Éducation nationale et les composantes disciplinaires de l’Unistra et de l’UHA, qui concourent avec nous à la formation des enseignants. Nos parcours sont ainsi construits en coresponsabilité entre un enseignant d’une composante et un enseignant de l’Éspé. Nous développons aussi des partenariats avec des institutions culturelles ou des associations, avec lesquelles nos étudiants travailleront quand ils seront enseignants. Sur ces deux ans, nous avons mis en place un cadre de fonctionnement. Tout s’est passé dans un climat serein. On entre maintenant dans la phase de consolidation. Nous allons devoir veiller à la cohérence de l’ensemble.
Combien d’étudiants et combien d’enseignants ?
Nous accueillons 1 700 étudiants sur les quatre sites de Strasbourg (Meinau et Neuhof), Sélestat et Colmar. 90 enseignants sont affectés à l’Éspé, aux côtés desquels interviennent de nombreux enseignants qui proviennent des composantes disciplinaires et du rectorat.
Quelles sont les particularités de l’Éspé de Strasbourg ?
Il y en a une importante pour la formation des enseignants du premier degré : nous proposons un parcours consacré aux enseignements bilingues français-allemand. Par ailleurs, nous travaillons à un rapprochement avec la Faculté des sciences de l’éducation. Nous réfléchissons aussi aux usages du numérique pour faciliter les apprentissages. C’est un des objectifs de la Fabrique. C’est un lieu physique et virtuel de ressources et de réflexion pédagogique. Les formateurs des futurs enseignants réfléchissent sur leurs pratiques et développent de nouvelles modalités de formation. On conduit aussi une réflexion sur les classes inversées ou sur les questions de présentiel enrichi, de formation hybride, alliant présentiel et accompagnement à distance.
Comment l’Éspé intervient-elle dans le débat sur la laïcité ?
La question de la citoyenneté fait déjà partie du socle commun de formation de tous les enseignants. En même temps, l’introduction dans les nouveaux programmes de l’éducation morale et civique nous obligera à quelque peu compléter nos contenus.
Quel sera l’impact de la réforme du collège sur l’Éspé ?
Le fait nouveau, c’est surtout le travail sur la pédagogie de projet par la généralisation des enseignements pratiques interdisciplinaires : nous allons aménager une partie des enseignements professionnels pour que les futurs enseignants soient prêts à mettre en œuvre cette pédagogie dès la rentrée 2016.
Comment l’Éspé remédie-t-elle aux difficultés de recrutement des enseignants ?
Il est vrai que dans certains concours, comme en lettres classiques ou en mathématiques, il manque de candidats. Nous avons à faire un travail avec les composantes disciplinaires et l'Espace avenir pour mieux sensibiliser les étudiants au métier d’enseignant et les inciter à suivre nos parcours de pré-professionnalisation en licence.
Quelle est votre principale contrainte ?
A l’Éspé, nous faisons face à une double pression de service public : nous avons beaucoup d’attentes de la part de l’Éducation nationale et des parents. C’est un poids important sur les épaules des enseignants de l’Éspé, une grande responsabilité.
Propos recueillis par Jean de Miscault
Déployée à partir du 1er septembre 2015, l’application Agadir devient l’outil de gestion et de validation des congés des personnels Biatss et contractuels de l’université.
Les pratiques de gestion des congés dans l’ensemble des 37 composantes et 27 services de l’université étaient jusqu’alors toutes assez singulières, allant jusqu’à une gestion sur feuille de papier. Pour harmoniser l’ensemble de ces pratiques et assurer une centralisation auprès de la Direction des ressources humaines (DRH), l'Application de gestion des absences des directions du rectorat (Agadir), initialement développée par le rectorat de l'académie de Strasbourg, est aujourd’hui déployée à l’université et sera effective au 1er septembre*. Elle est destinée à gérer l’ensemble des congés en distinguant les jours de congés des jours d’Aménagement et réduction du temps de travail (ARTT). « La mise en place d'Agadir va nous permettre d’avoir un outil commun de gestion de congés à l’échelle de l’université et d’apporter un soutien logistique aux services et composantes », explique Julie Hytry, chargée de mission à la Direction des ressources humaines. Les questions de fin d’année – est-ce que tous mes congés sont pris ? quelles sont les jours que je peux mettre sur mon CET ? – ne devraient plus être de mise.
Une application évolutive en fonction des besoins des services
Cette application développée par le rectorat de l'académie de Strasbourg a été mise en commun avec notre université. « L’application a déjà été adaptée aux spécificités de l’université, elle sera encore évolutive en fonction des besoins des services. Des adaptations techniques que nous pourrons partager avec le rectorat en retour », commente Eric Laemmer, chef de projet technique au sein de la Direction informatique (DI).
L’IUT Robert-Schuman et l’École supérieure du professorat et de l’éducation (Éspé) ont bien voulu endosser le rôle de composantes pilotes en testant l’application courant mai. « Les retours que nous avons eu sont positifs autant sur le service rendu que sur celui de la prise en main de l’outil », indique Julie Hytry. À ce jour, l’ensemble des responsables de services et de composantes ont été sensibilisés à l’outil. Un responsable valideur de l’application a été également été formé pour chaque service et composante. D’ici la fin de l’été, un compte utilisateur sera créé pour chaque agent et les soldes de congés saisis dans le logiciel pour la rentrée 2015.
L’accès à Agadir se fait via l’ENT, sous la rubrique Gestion. Chaque agent aura la charge de saisir ses congés qui seront validés par son responsable hiérarchique. Un guide utilisateur est disponible pour se familiariser à cet objet. La DRH et la DI accompagneront les services et les composantes dans le lancement d’Agadir.
Frédéric Zinck
*Le projet de mise en place de ce nouvel outil est piloté par le directeur général adjoint aux ressources, Jean Piéri, avec l’appui de la DI et de la DRH.Trois missions ont été inscrites au planning du Service de l’audit interne : assistance à l’autoévaluation de l’université, fonction communication et gestion des unités de recherche.
Le Service d’audit interne de l’Université de Strasbourg a sa feuille de route pour 2015-2016. Le plan annuel d’intervention a été arrêté par le comité d’audit interne du 12 mai 2015. Trois missions sont au programme des douze prochains mois.
Assistance à l’autoévaluation
Dans la perspective de la négociation du prochain contrat quinquennal entre l’université et le ministère et de l’évaluation par les experts du Haut comité d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (HCERES) qui la précède, l’université lance dès à présent le processus d’autoévaluation requis. Le principe est celui de l’autoévaluation de la stratégie et de la gouvernance de l’établissement afin d’identifier ses points forts et ses points faibles. Toutes les composantes, unités de recherche et services centraux (soit près de 130 entités), seront associées à cette démarche, qui permettra de produire le rapport que l’université remettra au HCERES dès lors qu’il aura été validé par les instances de l’établissement. « Le rapport est rédigé par l’université. Le Service d’audit interne assurera simplement une assistance à la maîtrise d’œuvre : apports méthodologiques, aide à l’exploitation des données et à leur analyse objective », insiste Jean-Emmanuel Rudio, responsable du service. Le travail a commencé en juin, le rapport sera remis au HCERES en octobre 2016.
Fonction communication
À la demande d’Armelle Tanvez, directrice du Service de la communication, le comité a retenu l’audit de la fonction communication à l’Unistra. On pourrait poser la question de la manière suivante : l’organisation actuelle de la fonction communication est-elle en phase avec les objectifs de communication institutionnelle de l’université ? Il ne s’agit donc pas de l’audit du Service de la communication, mais bien de la fonction communication dans toute l’université. Début des travaux : septembre 2015. Remise du rapport en janvier 2016.
Gestion des unités de recherche
À la demande de Catherine Florentz, vice-présidente Recherche et Formation doctorale, le comité a inscrit au planning l’analyse des difficultés de gestion des unités de recherche associées à plusieurs composantes de l’Unistra. Le Service d’audit dressera un état des lieux, fera une analyse objective des difficultés rencontrées et proposera le cas échéant des suggestions pour pallier ces difficultés. Cette dernière mission débutera en janvier 2016.
Jean de Miscault
Le colloque annuel des directeurs généraux des services sur l'innovation a réuni un public nombreux les 25 et 26 juin derniers à l’Université de Strasbourg.
« Innover, le défi des services universitaires », telle était la thématique du colloque annuel des directeurs généraux des services (DGS) de l’enseignement supérieur et de la recherche. Et le moins que l’on puisse dire c’est que ce sujet a attiré un public nombreux au Collège doctoral européen. « Il y avait des DGS mais également des DGS adjoints et pas mal d’invités notamment des représentants de l’Inspection générale, de la Direction générale de l'enseignement supérieur et de l'insertion professionnelle (DGESIP), de la Direction générale des ressources humaines (DGRH), etc. », affirme Frédéric Dehan, DGS de l’Université de Strasbourg. La thématique a été plébiscitée par Alain Beretz, le président de l’université, en ouverture du colloque : « C’est un très bon choix car l’université a toujours innové, c’est fondamental ! Et l’innovation n’est pas seulement technologique. C’est aussi des nouvelles manières de penser, de s’organiser, de travailler ! »
Le président de l’université, a aussi indiqué que « ce colloque tombait à pic puisqu’il pose des questions importantes à un moment où les universités sont agitées par diverses problématiques budgétaires, organisationnelles, etc. » L’idée était donc de réfléchir à la manière dont l’administration universitaire était à même d’accompagner ces transformations et d’étudier les conséquences de ces transformations sur les métiers, le management et chacune des grandes fonctions qui assurent le fonctionnement quotidien de l’ensemble des missions universitaires.
Le « nouveau métier » de DGS
« Nous avons beaucoup parlé de l’accueil de l’étudiant, qui est un thème auquel on ne pense pas spontanément lorsqu’on parle de DGS ; mais les collègues ont besoin de s’approprier ce type de thématiques pour sortir du positionnement classique de DGS », explique Frédéric Dehan.
Et le « nouveau métier » de DGS était d’ailleurs aussi au programme. « Dans une université qui se transforme, le métier de DGS évolue. Il doit aujourd’hui avoir trois rôles : chef d’orchestre de l’administration universitaire, pilote de projets complexes et transversaux et interface entre l’opérationnel et l’équipe politique », confie Frédéric Dehan. Si ce positionnement n’est pas encore homogène dans toute la communauté des DGS, c’est la mouvance actuelle qu’Alain Beretz approuve. « Il est logique et même indispensable que les DGS et leurs adjoints fassent partie des instances de gouvernance ; ils apportent leur expertise et leur soutien pour répondre aux différents défis des universités. »
Ce colloque a donc été une occasion de présenter différentes pratiques professionnelles et aussi un moment privilégié de rencontres informelles. « Nous avons été capables de faire intervenir des personnalités d’univers très variés lors d’un programme riche ; je trouve que c’est le reflet d’une image innovante et positive », conclut Frédéric Dehan.
F.A.
L’Université de Strasbourg a reçu, le 22 juin dernier, l’ambassadeur d'Australie, Stephen Brady, en visite officielle.
Il a été accueilli par Francis Kern, vice-président Relations internationales, ainsi que par des membres de l’École de management et de la Faculté des sciences du sport. Cet échange a été l’occasion d’illustrer les coopérations fructueuses développées ces dernières années avec les établissements australiens. Engagée dans le projet de double diplôme Scribe 21 avec les universités d’Adelaïde et d'Australie-Occidentale, l’EM Strasbourg accueille ainsi pas moins de douze étudiants de niveau master. Deux étudiantes australiennes, qui participent à ce double diplôme, étaient présentes pour partager leur expérience. De son côté, la Faculté des sciences du sport a développé une coopération avec l’Université de technologie du Queensland qui permet notamment des échanges d’étudiants pour un ou deux semestres.
Le dépliant sur les chiffres-clés 2015 a été mis à jour. Le document est uniquement disponible en version électronique sur le portail unistra.fr.
Juillet | Septembre | |
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<strong>Conseil académique</strong> 14 h - Mardi | / | / |
<strong>Congrès</strong> 14 h - Mardi | / | / |
<strong>Conseil d'administration - CA</strong> 14 h - Mardi | 7 | 22 |
<strong>Commission de la formation et de la vie universitaire - ex-Cévu</strong> 14 h - Mardi | 6 (lundi) | 15 |
<strong>Commission de la recherche - ex-CS</strong> 14 h 30 - Mercredi | / | / |
<strong>Conférence des directeurs de composantes</strong> 14 h 30 - Mardi | / | 8 |
<strong>Conférence des directeurs des unités de recherche</strong> 10 h - Vendredi | / | / |
<strong>Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux</strong> 9 h - Lundi | 6 | 21 |
Envoyez votre info à lactu@unistra.fr avant le mardi 8 septembre midi pour une parution le vendredi 11 septembre 2015. Consultez les dates des prochains numéros.